#Introduction#

Je me prénomme Victor, je viens de fêter mes 26ans, vis en couple avec ma compagne et travaille dans une petite société de vente par correspondance. Mon enfance ne contient selon moi rien d'anormal, et je crois avoir été plutôt gâté durant mes jeunes âges... Pourtant, j'ai grandi avec en moi un désir aussi fort que tabou. Le genre de chose que l'on avoue pas facilement à ses proches et encore moins à sa femme. Surfant souvent sur internet, je scrute régulièrement les sites de fétichismes de toutes formes, puis découvre petit à petit ce monde où l'on cotoie d'autres personnes qui sont prêtes à vous châtier pour votre plus grand plaisir! Après de longues recherches et nombreuses heures à réfléchir, ma souris semble se diriger toute seule vers la mention "envoyer un message" alors que je me trouve visiteur sur le profil d'une domina qui vend du rêve! Je suis déjà très intimidé à l'idée de la contacter et mon écran d'ordinateur ne suffit plus à me cacher, je suis à nu! Je reviens me connecter sur le site le lendemain, vois que j'ai un message, mais n'ose pas le lire, je le ferai plus tard, je crois que j'ai peur... Quelques heures plus tard, enfin, j'ai lu sa précieuse réponse qui me donne une sorte de traque mélangé à une excitation qui me font à nouveau perdre le contrôle et saisir inconsciemment mon clavier pour continuer la conservation. Plusieurs messages s'échangent, je lui parle de moi, mais elle me laisse aussi en apprendre un peu sur elle. Puis elle me donne un numéro de téléphone auquel je peux la joindre pour faire plus ample connaissance. J'ai comme l'impression de l'avoir séduite ou plutôt d'avoir réussi un test d'entrée!

#La rencontre#

Son numéro de téléphone jalousement conservé, je ne tarde pas plus de quelques jours pour l'appeler... Elle répond, je suis encore très impressionné mais elle sait me mettre à l'aise et m'en dit un peu plus sur ses pratiques et le déroulement du type de séance qu'elle propose. Je lui fais part de mes attentes et désirs avec certes un peu de honte, puis lui pose plusieurs questions auxquelles elles répond dans le plus grand calme, sa voix me semble elle aussi très douce. Je n'en attendais peut-être pas autant mais, elle me propose directement un rendez-vous en me rappelant quelques règles de base.
Une semaine s'écoule, et me voilà devant l'entrée de l'hôtel où le traque revient m'envahir tant je me sens complètement désarmé et quelque peu angoissé. J'entre dans la réception et me dirige vers le comptoir où l'on me donne la clé de ma chambre après avoir mentionné mon nom. Je monte au deuxième étage et installe les quelques affaires que j'ai emmené avec moi. Je suis inquiet, je crains ce qu'il va m'arriver, mais redoute surtout que ma maîtresse ait décidé de ne plus venir. Est-elle sérieuse ? Sera-t-elle conforme à ce qui est dit sur sa personne ? L'heure de la séance avait été fixée à seize heure et à peine ayant le temps regarder ma montre, mon téléphone sonne ; elle est là, et m'annonce qu'elle monte ! La peur est là aussi, et j'en aurait presque fait pipi dans mes sous vêtement tant je me sentais terrifié ! Une minute s'est écoulée quand j'entends frapper à la porte. Je lui ouvre et découvre pour la première fois le visage de cette jeune femme que j'ai tant souhaité rencontrer. Aucune erreur possible, c'est elle, et elle m'informe après être entrée que la séance peut à présent commencer. Elle dépose sur le lit un gros sac à mains rempli d'accessoires de torture ou j'y aperçois une paire de menottes, des pinces à tétons, une laisse avec un collier ou encore ce fameux martinet en bois que j'ai pu entrevoir sur plusieurs de ses photos. Mais je n'ai pas tout vu... Je lui parle un petit peu, la peur est retombée, puis au bout de plusieurs minutes de conversation, je me rends compte qu'elle m'a déjà presque entièrement mis à ma place, je me laisse alors aller et commence à m'abandonner à son sadisme. Elle continue de me parler, mais le ton a légèrement changé, je perçois maintenant une autorité plus ferme dans ses paroles... J'obéis à ses ordres quand elle me demande de ranger un peu mieux mes affaires et lui présenter ce que j'ai amené et qui pourrait servir durant notre entretien. Elle m'ordonne ensuite de m'étendre sur le grand lit où elle me met complètement à nu, puis saisi un change complet de son sac avec un flacon de talc... J'ose lui dire que je suis grand, ne suis plus un bébé. Je n'obtiens comme seule réponse que ce n'est pas à moi d'en décider. La couche sous mes fesses fraîchement talquées, je choisi de l'embêter un peu en gigotant, comme pour lui manifester mon mécontentement face au port de couche injustifié. Mais après un avertissement ignoré, ma rébellion récurrente va me conduire à une première sanction et le martinet à l'ancienne que je ne connaissais jusque là qu'en image est venu violemment écraser ses lanières de cuir sur ma cuisse droite pour y laisser une trace rouge et en relief ; je suis enchanté.

« Elle est très douce, et gracieuse aussi, même lorsqu'elle m'inflige ses châtiments douloureux... »

La « ballade » continue, et ma couche se remplie aussi doucement que ma maîtresse est venue me dire à l'oreille qu'elle ne s'était pas trompée : je suis un pisseux ! Elle vérifie mon lange qui n'est pas encore saturé et décide de me laisser ainsi. Je recommence à protester, et reçois de nouveaux coups de martinet en guise de punition... Mais je n'ai pas envie de me calmer et aussitôt son dos tourné, je m'amuse à attraper tout objet traînant dans la pièce comme un turbulent gamin de deux ans. Cette fois-ci je crois que mes fesses vont radicalement changer de couleur ! Mais lorsque je croise le regard de ma maîtresse, je sens que c'est avec autre chose que son martinet que j'ai rendez-vous... Je m'interroge et au moment où je daigne me poser une première question, je la vois prendre dans son sac la paire de menottes et plusieurs petits cordages. Ainsi je me retrouve pieds et mains liés assis par terre près d'un petit bureau disposé dans la chambre et auquel je suis également attaché. A ce point, je n'ose plus parler et ne fais plus que lui obéir à chaque fois qu'elle me demande de faire quelque chose. Toujours nu dans ma couche mouillée, elle place aussi une alèse jetable sous mes fesses et approche un tabouret près du bureau pour s'y asseoir. La disposition fait que je me trouve juste derrière elle, et ne pouvant pas vraiment bouger, ma tête arrive à hauteur de son fessier. De là où je suis, je ne peux voir que sa petite jupe qui retombe le long de son assise. Puis elle s'occupe quelques minutes devant la télé et en lisant une revue alors que je reste toujours là, attaché derrière elle, comme si elle ignorait ma présence... Soudain, je la vois se trémousser et quelques secondes plus tard, se soulager d'un pet qui me va droit dans les narines. Cette scène se reproduira au moins quatre fois jusqu'à ce qu'elle recule légèrement pour que cette fois, j'ai le visage vraiment collé à ses fesses. Plus d'une heure est passée depuis le début de notre rencontre, et je campe toujours au pied du bureau quand elle me dévoile en relevant sa jupe des dessous un peu particuliers. Je trouve plutôt agréable le fait d'avoir le nez collé sur la couche d'une d'une fille et profite de cet instant de douceur contre le plastique de son change complet. Je me serais presque endormi ainsi, si je m'étais trouvé dans une position plus adéquate ! Mais mon élan de douceur est coupé par un mouvement en avant de ma maîtresse tout en poussant encore un peu ses fesses vers vers l'arrière de son tabouret. Elle continue de vaquer à ses occupations alors qu'ayant le nez plus accolé que jamais à son lange, je commence à sentir une odeur qui stimule encore mon plaisir, je peux aussi sentir changer la forme de sa protection...

« Sa couche usagée et odorante continue à caresser mes narines, ce qui me paraît durer une éternité... »

On dit que les meilleurs choses ont une fin ; sauf si je n'étais pas au bout de mes peines. Ma maîtresse se lève et se dirige vers la salle de bain, je peux admirer sa démarche jusqu'au moment où la porte se referme derrière elle. Elle sort un quart d'heure plus tard après s'être nettoyée, vient vers moi, me détache et m'ordonne de la suivre dans les toilettes. Au sol, entre le WC et le bac de la douche, je ne peux que contempler sa couche, grande ouverte et souillée par ses « propres soins ». Je crois que c'est un cadeau, mais que faire maintenant ? Je n'ai pas de temps à consacrer à la recherche d'une réponse qu'elle défais les adhésifs de mon change-complet que je dois immédiatement remplacer par le sien. Je réalise à ce moment un de mes plus grands fantasmes, mais ressens aussi le paroxysme de la honte m'envahir. Les deux heures de notre séance s'achèvent bientôt, mais pour moi les choses ne s'arrêtent pas ici. Ma gentille maîtresse attrape dans mes affaires une culotte en plastique équipée d'une chaîne cadenassée ainsi qu'un body à fermeture éclair dans le dos. Après avoir fermé la culotte et verrouillé le cadenas elle me passe le body et me fait m'asseoir sur le lit où je sens toutes les matières s'étaler d'avantage au fond de la couche dont elle m'a fait le présent...

« Quelle idée ai-je eu de venir avec cette culotte à cadenas ?... »

Elle doit déjà repartir, j'ai honte, me sens ridicule, et évoque l'idée d'une prochaine rencontre avec peut-être de nouvelles expériences. Elle reprend alors un ton équivalent à celui qu'elle avait en arrivant et m'explique que je peux l'appeler si je désir la rencontrer à nouveau. On se dit au revoir. Après son départ, je profite de ma situation de garçon pisseux et scato dans ma petite bulle avant de devoir revenir à une vie « normale ». Mais l'après midi à passé et il me faut bientôt rentrer chez moi. Je vais devoir enlever ma couche saturée et prendre une bonne douche, mais... Maîtresse m'a fait une petite surprise en partant et je m'aperçois seulement que je ne sais pas où elle a caché la clé du cadenas... Me voilà dans une joyeuse merde !

(Les personnages et les situations de ce récit étant purement fictifs, toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite.)